Histoire 6GT

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Cours d' Histoire 2h des élèves de Mr Leclerc.

Histoire intérieure des USA (crise de 29)

Causes de la crise de 29

Un grand groupe d'investisseurs Anglais se retire du marché et vendent leurs actions mais beaucoup trop vite.

==> Une panique s'installe, tout le monde vend et les biens sont dévalués. ==> Perte de confiance

Cette crise gagnera l Europe en 30 et durera jusqu'en 36

La cause de la crise de 29 (Amérique de l'après guerre 14-18) à pour conséquences des troubles économiques, sociaux, etc. Le racisme apparait avec l'arrivée des républicains au pouvoir (droite) qui favorisent le développement d'une économie extrêmement libre.

En 1922 : Conférence de Gènes : on essaye de rétablir un équilibre entre les États-Unis et les autres pays.Les États-Unis doivent faire un effort car l'Europe est asphyxié par les U.S.A. Mais, elle provoque une crise, un déséquilibre entre l'Offre et la Demande,les européens ne savent plus acheter autant

==> Distorsion entre le prix des matières premières et le prix industriel.

+Les spéculateurs +Les mesures protectionnistes sur les importations (= taxes)

==> Tout cela entraine un désordre monétaire. Cette crise d'inflation va favoriser la spéculation plutôt que les investissements

En 1922, l'Europe commence à se relever en créant de nouvelles industries, tandis que les USA stagnent, dès lors le chômage augmente et la demande diminue. Le président Wilson commence à être critiqué, car il ne tient pas les promesses faites au peuple et les républicains ne le suivent pas. WAST : le congrès se retourne contre le président.

==> Grèves, Chômage, inflation, etc. (contre coup de la première guerre mondiale).

De plus, toutes les entreprises ne tournent pas au même rythme, ce qui engendre un déséquilibre sectoriel. S'en suis l'apparition de l'automobile, de la radio et de la chimie.

L'économie coule :

- diminution du monde agriculteur (conservateurs)

- stabilisation de la démographie (moins d'immigrés)

- stabilisation puis baisse des salaires

- aucune épargne

- apparition du machinisme / travail à la chaîne

- concurrence des banques car les centres monétaires sont au centre du pays et donc mauvaise répartition de l'or monétaire

N°1 mondiale en politique :

Harding, le nouveau président (1920), pense avant tout aux USA. Dans la politique intérieure, 3 hommes vont se consacrer à l'économie de leur pays. Hoover promet que la fortune est au coin de la rue, permet tout (les banques sont totalement libres) il pense que ça va aller mieux tout seul. Les lois favorisent, bien évidemment, les riches et s'en suis une dénationalisation,les politiciens sont achetés. Le parlement dénonce cette corruption et empêche que l' état ne fasse n importe quoi.Tout est donné aux entreprise pour la concurrence

Politique intérieure :

Wilson : liberté, paix

Harding : politique fermée

Harding signe avec les pays alliés au coup par coup, ce qui écrase le marché en Chine, augmente la flotte américaine en faisant diminuer celle d'angleterre. C'est la diplomatie du dollar : Prêt d'argent = obéissance.


Synthèse Bilan de Juin 2011 de Mr Leclerc

Questions :

Partie préparée par Emeline :

ONU = l’Organisation des Nations Unies

Historique de l’ONU

Après la première guerre mondiale, 42pays créent la Société des Nations (SDN) qui devait empêcher le retour de la guerre. Malheureusement le SDN échoue, une deuxième guerre mondiale éclate. L’idée de créer l’ONU est déjà évoquée dans la charte de l’Atlantique (1941 signé par Franklin Roosevelt et Winston Churchill), cette charte définit quelques principes de l’après-guerre, tel que la sécurité ou la liberté des mers. Le 1er janvier 1942, les Etats-Unis et ses 25alliés signent la déclaration des Nations Unies qui reprend les idées de cette charte. En 1943, l’URSS, les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la Chine signent la déclaration de Moscou où il est appuyé la nécessité de créer une organisation internationale. Enfin le 26 Juin 1945, le chartes des nations unies est signées par 51pays (cette charte fut complétée lors de Yalta et la conférence de San Francisco).


Expliquez le Conseil de sécurité de l’ONU

Le Conseil de sécurité des Nations unies est l'organe exécutif de l’ONU, organe de décision. Il a « la responsabilité principale du maintien de la paix et de la sécurité internationale » selon la Charte des Nations unies et dispose pour cela de pouvoirs spécifiques tels que le maintien de la paix, l'établissement de sanctions internationales et l'intervention militaire (les casques bleus). Certaines décisions, appelées résolutions, du Conseil de sécurité ont force exécutoire et « les Membres de l'Organisation conviennent d'accepter et d'appliquer les décisions du Conseil de sécurité ». Il se réunit au siège des Nations unies à New York après avoir siégé dans différentes capitales, telles que Paris ou Addis-Abeba. Ses membres doivent y être présents en permanence, du fait que le Conseil peut être réuni à tout moment, notamment en cas de crise exceptionnelle, ce que ne permettait pas la Charte de la Société des Nations. Le Conseil de sécurité est composé de quinze membres : cinq permanents pourvus du droit de veto (Chine, États-Unis, France, Royaume-Uni, Russie) et dix membres élus pour deux ans votent des révolutions.


Expliquez le fonctionnement de l’ONU

Voir schémas n°1 page 232 du livre « Construire l’Histoire 4 : Un monde en mutation (de 1919 à nos jours ». (Important, à connaitre !!)

Les Membres de l'ONU sont des pays souverains. L'ONU n'est pas un gouvernement mondial et ne légifère pas. Elle fournit toutefois les moyens d'aider à résoudre les conflits internationaux et de formuler des politiques sur les questions intéressant l'humanité. Ce faisant, tous ses Etats membres, grands et petits, riches et pauvres, quel que soit leur système politique ou social, ont leur mot à dire et disposent d'une voix et d'un vote.

L'ONU a six organes principaux, dont cinq - l'Assemblé générale, le Conseil de sécurité, le Conseil économique et social, le Conseil de tutelle et le Secrétariat - se trouvent au Siège de l'Organisation des Nations Unies à New York. Le sixième organe, la Cour internationale de Justice, a son siège à La Haye (Pays-Bas).


Expliquez Néocolonialisme

Définition de la colonisation : Processus international d’occupation d’un territoire par des étrangers et d’une origine commune

Etymologie : du latin neo, nouveau, et de colonialisme.

Le terme néocolonialisme désigne, à partir des années 1960, les diverses tentatives d'une ex-puissance coloniale de maintenir par des moyens détournés ou cachés la domination économique ou culturelle sur ses anciennes colonies après leur indépendance.

Le néocolonialisme est principalement fondé sur des politiques commerciales, économiques et financières qui de facto permettent un contrôle de pays du tiers-monde, ayant une similitude avec le colonialisme traditionnel. Les anciennes puissances colonisatrices tentent par ces moyens de maintenir leur présence dans ces pays, notamment en ce qui concerne l'accès aux matières premières.

Par extension, le terme néocolonianisme est utilisé pour qualifier les politiques d'institutions financières internationales comme la Banque mondiale, le Fonds Monétaire International ou le G8, qui, par leur choix d'accorder ou non des prêts ou des aides économiques, contraignent les pays pauvres à prendre des mesures structurelles qui accroissent la pauvreté tout en favorisant les intérêts financiers des pays riches et des multinationales.


Expliquez les accords de Camp David

Les accords de Camp David furent signés le 17 septembre 1978, par le Président égyptien Anouar el-Sadate et le Premier Ministre israélien Menahem Begin, sous la médiation du Président des États-Unis, Jimmy Carter. Ils consistent en deux accords-cadres qui furent signés à la Maison Blanche après 13 jours de négociations secrètes à Camp David (résidence secondaire du président). Ils furent suivis de la signature du premier traité de paix entre Israël et un pays arabe : le traité de paix israélo-égyptien de 1979. Ce sont les premiers signes d’ouvertures entre Israël et l’Égypte. L’Égypte fut bannie de la ligue arabe qui est contre ce traité en 1979. Conséquence, débouche sur les accords de Madrid, d’Oslo et de Camp David 2.


Expliquez les accords d’Oslo

Les Accords d'Oslo sont le résultat d'un ensemble de discussions menées en secret, en parallèle de celles publiques consécutives à la Conférence de Madrid de 1991, entre des négociateurs israéliens et palestiniens à Oslo en Norvège, pour poser les premiers jalons d'une résolution du conflit israélo-palestinien. La Déclaration de principes, signée à Washington le 13 septembre 1993 en présence de Yitzhak Rabin, Premier ministre israélien, de Yasser Arafat, Président du comité exécutif de l'OLP et de Bill Clinton, Président des États-Unis, instaure un mode de négociations pour régler le problème et pose une base pour une autonomie palestinienne temporaire de 5 ans pour progresser vers la paix. La vive poignée de main entre Yasser Arafat et Yitzhak Rabin derrière la Maison Blanche et devant le Président Bill Clinton suite à la signature des accords de Washington fait renaître l'espoir de l'établissement d'une paix durable entre les deux entités proche-orientales. Le processus d'Oslo est complété le 4 mai 1994, de l'Accord de Jéricho-Gaza qui investit la nouvelle Autorité Nationale Palestinienne de pouvoirs limités. Enfin, l'accord intérimaire sur la Cisjordanie et la Bande de Gaza ou "Accord de Taba", qui est signé à Washington le 28 septembre 1995, prévoit les premières élections du Conseil Législatif Palestinien et implique un découpage négocié des territoires palestiniens en zones où les contrôles israélien et palestinien s'appliquent de façon différente, dans l'attente de l'aboutissement des négociations toujours en cours. Cette tentative de processus de paix israélo-palestinien, largement soutenue par la communauté internationale, sera mise en difficulté entre 1996 et 1999 suite au durcissement des positions de part et d'autre lorsque seront abordés les thèmes cruciaux du statut de Jérusalem, du problème des réfugiés palestiniens, de la lutte contre le terrorisme. Les positions les plus extrêmes s'expriment dans les années qui suivent, lors de l'assassinat de Yitzhak Rabin en 1995 par un étudiant israélien d'extrême-droite, et dans la multiplication des attentats menés par les mouvements palestiniens Hamas et Jihad islamique. Le processus d'Oslo ne pourra plus être relancé après 2000, au déclenchement de la seconde Intifada.


Partie préparée par Clément :

Quels facteurs permettent le mouvement de décolonisation ?

Tout commence dès la première guerre mondiale, la France et la Grande-Bretagne puisent dans les populations de leurs empires colonial afin de combattre sur divers fronts. L'Europe était pour tout ces indigènes le modèle de civilisation jusqu’à ce qu’ils découvrent la cruauté de cette guerre. La vision de l’Europe devient tout autre pour eux. Après cette guerre, bien qu’ils estime que la métropole qui les a mobilisés durant cette guerre leur est redevable, il redeviennent de simples colonisé sans droits, libertés que possède les citoyens des métropoles. En 1919, le communisme défend la cause des prolétaires et par la même occasion celle des colonies. Lénine est entendu jusqu'en Indonésie où un parti communiste se crée en 1930. Ce genre de mouvements fleurissent un peu partout dans les colonies sous l’influence des intellectuels revenant aux pays après avoir été faire leur étude en Occident. Ils s’approprient les idées de libertés et de justice pour les diffuser dans leur pays natal. Gandhi l’a fait pour l’Inde. La crise de 1930 n’arrange rien. Les exportation des colonies vers l’Occident diminue considérablement ce qui baisse encore les revenus déjà peu élevé des travailleurs des travailleurs coloniaux. Cela provoque des troubles sociaux qui sont lourdement réprimés. C'est la Seconde Guerre mondiale qui ouvre la voie à l'émancipation des peuples colonisés. En effet, le mécontentement gronde. Les colons sont à nouveau envoyés aux front, le travail forcé reprend et la fiscalité augmente. Il faut attendre 1945 pour que la charte des nations unies comprenne un article obligeant ses membres à tenir compte des aspirations politique de la population coloniale ainsi que d’aider les pays colons dans leur développement de leurs libres institutions. En 1948 la déclaration universelle des droits de l’homme proclame l’égalité des races et des droits des peuples de disposer d’eux-mêmes. Ainsi de 1945 à 1975 les empires coloniaux disparaissent et plus de 70 nouveaux Etats apparaissent sur la scène internationale.


Expliquez la prise de conscience de Bandoeng ?

A la conférence de Bandoeng (Indonésie), en 1955, se réunissent vingt-neuf délégués de pays d'Afrique et d'Asie (Inde, Pakistan, Birmanie, Indonésie) pour condamner le colonialisme affirmer leur volonté d'indépendance et leur non-alignement sur les puissances mondiales. La charte du non-alignement sera fondée à Belgrade en 1961. Cette charte réclame l’instauration d’un cœxistence pacifique entre les différent blocs et affirme le droit des peuples à l’autodétermination et à la libre disposition de leurs richesses.

Les nouveaux États indépendants asiatiques cherchent en effet à soutenir les peuples encore dépendants du tiers-monde dans leur lutte pour l'émancipation. Tous les participants s'accordent sur leur volonté de coopérer et de s'opposer au colonialisme. Ils revendiquent : - La décolonisation et l'émancipation des peuples d'Afrique et d'Asie; - La coexistence pacifique et le développement économique; - La non-ingérence dans les affaires intérieures.

La conférence a une incidence psychologique très importante. Elle exalte en effet les droits fondamentaux des peuples colonisés et témoigne de leur force de résistance contre la domination européenne. Sentant leurs positions toujours plus menacées, les métropoles européennes n'ont bientôt plus guère d'autre choix que de s'orienter toujours plus vers l'unité et de s'interroger sur les moyens de conserver des liens privilégiés avec leurs colonies.


Partie préparée par Charlotte L :

Quelles sont les origines du conflit israélo-palestinien?

Lors du démantèlement de l'Empire Ottoman, après la première guerre mondiale, le Royaume-Uni reçoit un mandat ( permet d'attribuer des terres ou un état à une population ) sur le territoire palestinien. Il se trouve alors confronté à 2 peuples voulant la même terre : Les juifs de la Palestine et de la diaspora, et les Arabes palestiniens. Le Royaume-Uni avait promis depuis 1917 l'instauration d'un "foyer national Juif". Après 1945, Le Royaume-Uni renonce à son mandat. L'ONU partage alors le territoire mais les Arabes palestiniens refusent l'offre. Malgré le refus, l'indépendance de l'Etat d'Israel est proclamée le 14 mai 1948. Les armées des pays limitrophes s'allient aux Palestiniens et c'est ainsi que débutent60 ans de guerre. L'origine de ce conflit part simplement d'un partage et attribution de terre qui ne convient pas aux 2 peuples concernés.


Expliquer la guerre Iran-Irak 1980-1988

En septembre 1980, le président irakien Saddam Hussein attaque l'Iran. Il veut empêcher que la révolution islamique ne se propage dans son pays. Au départ, la guerre reste centrée sur le Chatt al Arab (région frontalière du sud riche en pétrole) puis se propage. Malgré son isolement diplomatique, l'Iran résiste aux troupes irakiennes. Cette guerre fait près d' 1 million de morts, dont 60% du côté iranien. Elle se termine par le retour aux anciennes frontières. Elle ruine l'Iran et endette l'Irak surtout envers l'Arabie Saoudite et le Koweit.


Partie préparée par Charlotte P

Comment se termine la guerre froide? Gorbatchev est nommé premier secrétaire du PCUS. Il hérite d'un pays en crise. Le taux de croissance économique baisse. Premier signe de l'inefficacité du communisme. Echec de l'invasion de l'Afghanistan qui cause beaucoup de problèmes financiers. Les intellectuels commencent à dénoncer le système politique et le régime communiste. La société civile adhère de moins en moins aux idées communistes et veulent plus de libertés.

Les réformes politique et économiques sont mis en place et signature d'un traité de désarmement nucléaire avec les etats unis. Le glasnost ne progresse pas Le chômage augmente de plus en plus Les pays satellites se rebelles et prennent leur indépendances.


Dès août 1990, George Herbert Walker Bush, nouveau président des États-Unis, annonçait la fin de l’affrontement Est/Ouest, c’est-à-dire de la guerre froide et de la bipolarisation du monde. Les États-Unis l’ont gagné sans affrontement militaire direct. En 1991, les deux principales organisations internationales des pays communistes, le COMECON, qui apporte un soutien économique, et le Pacte de Varsovie, qui apporte un soutien militaire, se dissolvent à leur tour.


Conséquences économiques de la chute de l'URSS

Le désengagement soviétique en Afrique a mécaniquement impliqué celui des nations occidentales, certes moindre. La suppression de l’aide financière et matérielle russe a provoqué des situations de chaos économique : les armées pillent les populations, la profusion des armes renforce l’insécurité. L’adaptation des économies dirigées à l’économie de marché est d’autant plus difficile que l’aide économique se tarit. Dans les pays endettés du Sud les crises se multiplient : émeutes urbaines liées à la montée du chômage et la cherté de la vie, mais aussi féroces affrontements pour le pouvoir, puisque la scène politique est libéralisée. Il n’y a désormais plus d’obstacle à l’expansion de l’économie libérale. Les processus d’urbanisation, d’industrialisation du tiers monde, les valeurs des peuples sont parfois ignorées, créant de vraies frustrations. La promesse de prospérité et de richesse de l’Occident devient indigence, déracinement, ce qui crée des frustrations.

Cette reconfiguration de la scène politique internationale va fragiliser un peu plus les nouveaux Etats, issus de la décolonisation et qui vivaient de subsides des grandes puissances.

Dès l’accès à l’indépendance des états colonisés, des combats éclatent pour le contrôle des ressources et le partage des revenus. En effet, ces Etats sont mal préparés à assumer leurs pouvoirs régaliens : répartition légitime des richesses, contrôle du territoire, monopole étatique de la violence. La déficience de l’autorité dans ces pays fournit aux grandes puissances la liberté d’asseoir leur autorité sur les jeunes Etats. En attisant les revendications identitaires elles placent sous tutelle les nations post coloniales pour préserver leurs intérêts économiques.

Le regard porté par les Etats influents est sélectif, il suit la logique de leurs intérêts, la différenciation économique entre Etats issus de la décolonisation nourrit les économies illicites, le crime organisé, parfois avec la complicité bienveillante d’une administration corrompue.

Néanmoins, l’interdépendance des économies, le désengagement économique des super puissances et l’avènement de micro Etats ont fragilisé l’économie des Etats « faibles » qui restent parfois sous la coupe des intérêts d’Etats puissants, ou subissent l’emprise d’organisations criminelles. Ces dernières ont d’ailleurs tout intérêt à maintenir les Etats défaillants pour prospérer. Leur entreprise est malheureusement facilitée par l’une des conséquences inattendues de l’effondrement soviétique: la prolifération d’armes de petits calibres. Chaque courant politique au pouvoir en place, chaque ethnie qui s’estime lésée peut désormais se procurer facilement des armes légères.


Décolonisation Congo Belge

Le Congo Belge proclame son indépendance le 30 juin 1960, mais le nouveau pays reste miné par la violence et les luttes intestines, dont celle qui mène à la sécession de la province du Katanga.

Le Mouvement national congolais (MNC) de Patrice Lumumba joue un rôle déterminant dans la marche vers l'indépendance du Congo belge qui s'intensifie à partir de 1958. Les émeutes de Léopoldville, en janvier 1959, et la détérioration de la situation économique contribuent à accélérer le débat sur l'indépendance dont les modalités sont discutées entre Belges et Congolais au début de 1960. Lors de la proclamation signée à Léopoldville le 30 juin 1960, le président est Joseph Kasavubu et le premier ministre Patrice Lumumba. La sécession de la province minière du Katanga, le 11 juillet 1960, exacerbe le climat de crise. Des troupes belges et des Casques bleus de l'Organisation des Nations unies (ONU) interviennent sur le territoire alors qu'un bras de fer s'engage entre Kasavubu et Lumumba. Le 14 septembre, le colonel Joseph Mobutu dirige un coup d'État qui est suivi par l'arrestation et l'assassinat de Lumumba. Des combats, entrecoupés de cessez-le-feu, ponctueront les années suivantes. La sécession du Katanga prendra fin en janvier 1963.


Comment le refroidissement entre les deux blocs se manifeste-t-il?

En Bulgarie Roumanie et Hongrie, les politiciens communistes prennent peu à peu le pouvoir au sein des gouvernements. Les élections sont manipulés et les communistes se retrouvent définitivement au pouvoir. En Pologne idem malgré le fait que le pays soit profondément catholique et anticommunistes. Idem pour la Yougoslavie, l'Albanie, la Tchécoslovaquie. Tous les pays forment petit à petit les états satellites de l'URSS. Le bloc de pays sera plus tard séparé du reste du monde grace « au rideau de fer » .

1947. Les américains, qui se sont rendu compte à quel point la plupart des pays qui sortent de la seconde guerre mondiale ont énormément de problèmes économiques, créent le plan Marshall pour les aider. L'URSS n'accepte pas le plan et interdit à ses états satellites d'en bénéficier. L'organisation de Coopération économique (OECE) est ensuite crée par les américains. Pour répondre à cela, l'URSS crée le plan Cameron.

1949. L'Allemagne est séparée en deux. Le coté Est appartient à l'URSS et cela constitue le 8eme état satellite de l'empire (RDA). Le coté Ouest appartient aux états unis (RFA). Explication: Les Usa, le royaume-Uni et les français ont un désaccord avec l'URSS car ils n'arrivent pas a trouver un accord quand à l'avenir de l'Allemagne. Les USA, le RU et la France décident alors de créer une nouvelle monnaie: le mark. Staline réagit en bloquant les routes ce qui privent la partie ouest de vivres et de charbon. C'est le blocus de berlin. Les Américains réagissent en envoyant par voie aérienne des vivres. En même temps, création de l'OTAN (USA, Canada et 10 pays de l'Europe). Quand la RFA adhère au pacte, l'URSS et ses états satellites adhèrent au pacte de Varsovie.

'Évènements importants de la guerre froide'

La guerre de Corée eut lieu de 1950 à 1953 entre les forces de la Corée du Nord communiste, soutenues par la République populaire de Chine et l'Union soviétique, et celles de la Corée du Sud sous influence occidentale, soutenues par les Nations unies (principalement les États-Unis). La guerre a eut lieu car les deux puissances ont la Corée du l'occupation japonaise (nord: armée rouge, sud: armée américaine). Comme les deux puissances n'arrivent pas a s'accorder sur les modalités de réunification, la Corée est coupée en deux.

1953: Staline meurt. Nikita Khrouchtchev prend sa place. 1961: mur de Berlin 1962: Crise de cuba (voir explications plus loin) 1972-73: détente entre les deux blocs l'URSS continue à s'étendre: elle envahit une partie du continent africain, l'Éthiopie, la péninsule indochinoise, et certains pays d'Amérique latine. Pendant ce temps, les Américains ne font rien. 1976: Invasion de l'Afghanistan de l'URSS. Les USA se réveillent enfin. Dernière bataille: la guerre des euromissiles. Les deux blocs installent des euromissiles dans leur camps. 1985: Gorbatchev au pouvoir. Il signe avec les USA un traité pour enlever les euromissiles + chûte du mur de Berlin + chute des régimes communistes d'Europe de l'Est. 1991: URSS disparait.


Partie préparée par Emilie :


Quelles sont les causes du sous-développement ?

-passé colonial :

• fixation des frontières des colonies sans tenir compte des religions et ethnies locales, ce qui renforce les rivalités ethniques.

• mauvais développement de l'enseignement, trop peu de diplômés, élite pouvant diriger le pays insuffisante.

• néocolonialisme, les richesses des anciens pays colonisés continuent à être exportées vers leur métropole.

• Dette des pays du sud envers les pays du nord, intérêts énormes. Le plan d'ajustement structurel servant à réduire cette dette comportant certaines mesures telles que la réduction des dépenses publiques en matière d'éducation, de santé, d'infrastructures... ralentit encore le développement.

-géographie du pays (sols stériles, climat sévère, relief hostile...)

-problèmes politiques (corruption, instabilité, rivalités ethniques...)

-problèmes économiques (faible développement technologique, insuffisance des moyens de communication...)

-problèmes sociaux (accès à l'éducation plutôt réduit, structures sociales inégalitaires...)


Pourquoi les pays en voie de développement s'endettent-ils si rapidement ?

Ce sont généralement d'anciens pays colonisés où s'est ensuite exercé le néocolonialisme, leurs richesses ont été exportées dans les pays développés du nord (métropoles). Ceci explique en partie pourquoi les pays du sud ont contracté une si grosses dette envers les pays du nord (faiblesse des rentrées et coût important des biens de production achetés dans les pays développés). La dette étant très importante, les intérêts le sont également.

Ensuite, les pays du nord détiennent le quasi-monopole des capitaux, des services, du marché de consommation, de la fabrication des produits manufacturés et des biens d'équipement... Ils fixent donc eux même, pour leur plus grand profit, les prix des matières de base qu'ils importent des pays du sud, ainsi que les prix des biens et services qu'ils leur fournissent.

Enfin, une grande partie de la production des pays sous-développés est entre les mains d'entreprises multinationales qui ne prennent pas en compte l'intérêt du pays où elles sont implantées. De par la vente de ces produits, ils sont encore plus dépendants économiquement. Et les salaires restent toujours aussi bas car l'offre de travail est illimitée et qu'ils se contentent d'un salaire proche du minimum vital.

Partie réalisée par Kathy en Collaboration avec Aurélien Sibret:

Fatah : mouvement de résistance pour la libération de la Palestine fondé en 1959. Organisation politiquo-militaire qui prend la tête de l’Autorité palestinienne en 1996.


. Hamas: mouvement islamique, se revendiquant de résistance, et classé terroriste par de nombreux Etats, dont le programme politique est l’instauration d'un unique État palestinien sur toute la terre de l'ancienne Palestine.


FMI (Fond Monétaire International): • Il appartient à l’ONU • Promouvoir la coopération monétaire internationale • Garantie la stabilité financière des pays • Facilite les échanges internationaux • Stabilise l’économie • Fait reculer la pauvreté

 Le FMI assure la stabilité du système monétaire international et la gestion des crises monétaire et financiers.


• OPEP (Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole): C’est un cartel de pays visant à négocier avec les sociétés pétrolières pour tout ce qui touche à la production de pétrole , son prix et les futures droits de concessions.


Talibans: Etudiant en théologie islamique d’ethnie pachto. Les Talibans, issus des écoles du Pakistan et de l’Afghanistan, ont formé une armée qui a pris le pouvoir dans ce dernier pays(Afghanistan) en 1966 et y a fait régner la terreur jusqu’en 2001.


Questions

Pourquoi la Belgique est-elle un État fédéral ?La Belgique est un État fédéral depuis qu’elle est composée de Communautés et de Régions. Ainsi le pouvoir de décision n'appartient plus exclusivement au Gouvernement fédéral et au Parlement fédéral. L'administration du pays est maintenant assurée par diverses instances qui exercent de manière autonome leurs compétences dans les matières qui leur sont propres.

Quesque le Non-alignement ?Suite à la conférence de Bandung , les nations du Tiers Monde s’affirment et décide le non-alignement. Le non-alignement est une véritable doctrine qui élabore la volonté d’indépendance des petits pays face aux grands. Ces petits pays refusent de se rallier à un des 2 blocs et désirent être identifier comme un 3ème bloc pour lutter pour la coexistence pacifique. Le ralliement de la plupart des pays du Tiers-monde à ce mouvement constitue une force mondiale que doivent ménager les grandes puissances. La coexistence pacifique est une doctrine venue du monde communiste. C'est Khrouchtchev qui en 1956 évoque la coexistence pacifique. Il ne s'agit aucunement pour aucun des deux blocs de renoncer à son idéologie mais d'éviter les crises pouvant déboucher sur une apocalypse nucléaire, d'autant plus que les blocs s'effritent. Les années 60 sont donc marquées par des signes de détente tant en Europe qu'en Asie et surtout entre USA et URSS. C'est une embellie dans les relations internationales; mais les tensions se maintiennent puisque aucun des deux grands ne renoncent à ses ambitions planétaires En effet de nombreuses crises traversent cette période:

La crise de Suez: 1956 Nasser, dirigeant égyptien, décide de nationaliser le canal de Suez (canal hautement stratégique puisqu'il évite de contourner l'Afrique pour rejoindre l'Océan Indien). Israël envahit le Sinaï(partie de l’Egypte), la France et l'Angleterre, complices d'Israël, occupent également la zone du canal de Suez. Face aux pressions américano-soviétiques, la France et le Royaume-Uni doivent se retirer. Le prestige de Nasser est au plus haut. Le 4 Novembre 1956, les Nations Unies votent pour la résolution du maintient de la paix. Mais il faut assurer l'accès au canal pour tous, et un retrait israélien de Sinaï. Les États-Unis ont soutenu cette résolution en faisant pression sur le gouvernement britannique et française. La Grande-Bretagne et la France acceptent alors de retirer leurs troupes. Avec le temps l'ONU a réussit à maintenir la navigabilité du canal libre, et la paix dans la péninsule du Sinaï.




Cuba 1962 La crise la plus grave est celle de Cuba en octobre 1962. Depuis 1959, Cuba est dirigé par Fidel Castro qui a chassé le dictateur soutenu par les américains: Batista. Cuba s'éloigne alors de la sphère d'influence américaine, les américains soutiennent les forces anticastristes ( personnes contre le régime et la doctrine politique de Fidel Castro )qui tentent de débarquer dans la baie des cochons (1961). Castro cherche alors un soutien en Union Soviétique. Khrouchtchev décide d'installer des missiles nucléaires sur l'île, dirigés (1962) contre les États-Unis. La tension devient extrême. Kennedy décide le blocus de l'île et décide d'intercepter les navires soviétiques porteurs de missiles. S’intale alors un deal, URSS retire leur missiles à la condition que les américains s'engagent à respecter l'indépendance de Cuba et à retirer leurs propres missiles de Turquie.


Le coup de Prague1948: Prise de pouvoir communiste à Prague

Après deux semaines de pression soviétique, les communistes tchèques opèrent "le coup de Prague". Cumulant une vague de démissions communistes et le lancement de mouvements de rue et de grèves, les communistes menés par Klement Gottwald parviennent à prendre le contrôle du pays. Le président Edouard Benes, affaibli et isolé, se retire et démissionne, laissant s’installer une démocratie populaire pour éviter la guerre civile. C’est ainsi qu'au cœur de la Guerre froide, le cas particulier de la Tchécoslovaquie prend fin.

Définitions :

Partie préparée par Emeline :


• Intifada : Intifada (aussi écrit : Intifadah) est un terme arabe signifiant soulèvement. Employé à plusieurs reprises au Liban mais également en Irak, en Algérie, en Tunisie (voir l'intifada de Sidi Bouzid par exemple) ou au Maroc, pour désigner une révolte contre un régime oppresseur ou un ennemi étranger, elle désigne également deux forts mouvements d'opposition populaire contre l'armée israélienne présente dans les territoires occupés et dans certaines zones dévolues à l'Autorité palestinienne (bande de Gaza et la Cisjordanie). C'est un fait majeur au sein du conflit israélo-palestinien.


• FIS : Front Islamique du salut, était une formation politique algérienne militant pour la création d'un État islamique. Elle a été dissoute en mars 1992 par le tribunal administratif d'Alger.


• Yalta : Tenue du 4 au 11 février 1945 dans le palais de Livadia situé dans les environs de la station balnéaire de Yalta, sur la côte de la mer Noire, en Crimée, la conférence de Yalta réunit en grand secret les chefs de gouvernement de l'Union soviétique (Joseph Staline), du Royaume-Uni (Winston Churchill), des États-Unis (Franklin D. Roosevelt) dans les buts suivants : 1. adopter une stratégie commune afin de hâter la fin de la guerre, 2. régler le sort de l’Europe après la défaite du IIIe Reich et 3. garantir la stabilité du monde au-delà de la victoire. Le propos principal de Staline était sans doute de préserver son pays de futures attaques, comme en 1914 et en 1941, en le protégeant par un glacis territorial et politique. La meilleure solution pour lui, c’était la création d’une Pologne qui serait dirigée par un gouvernement ami de l’Union soviétique. Churchill et Roosevelt, de leur côté, étaient disposés à obtenir de la part de Staline la promesse que l'URSS entrerait en guerre contre le Japon dans les trois mois après la capitulation de l’Allemagne. Il est vrai que Staline négociait en position de force, les armées soviétiques n’étant plus qu’à une centaine de kilomètres de Berlin. Par ailleurs, Roosevelt, dont la santé se dégradait de plus en plus, faisait preuve d’une totale méconnaissance des valeurs morales de son interlocuteur1 en affirmant : « Si je lui donne tout ce qu'il me sera possible de donner sans rien réclamer en échange, noblesse oblige, il ne tentera pas d'annexer quoi que ce soit et travaillera à bâtir un monde de démocratie et de paix. »


• Conférence de San Francisco : se déroulant dans la ville du même nom, a été initiée par les États-Unis et a regroupé 51 États (48 États et 3 sièges pour l'URSS : un pour l'Ukraine, un pour la Biélorussie et un dernier pour l'URSS elle-même) du 25 avril au 26 juin 1945 afin d'établir une alliance commune. Sa convocation avait été décidée en février lors de la conférence de Yalta. C'est à l'issue de la Conférence de San Francisco que naquît l'Organisation des Nations Unies (ONU), avec la signature de la Charte des Nations Unies. C'est Georges Bidault, ministre des affaires étrangères du gouvernement provisoire dirigé par Charles de Gaulle, qui était le chef de la délégation française à cette conférence. Il a obtenu, avec l'appui de l'Union Soviétique, du Canada, et de plusieurs pays latino-américains, que le français soit langue de travail à égalité avec l'anglais1. C'est sur les instructions de De Gaulle que Georges Bidault fit prévaloir le maintien du français comme langue officielle de l'ONU et comme langue de travail du Secrétariat de cette organisation avec l'anglais


• Traité de San Francisco : La « Conférence de la paix » concernant les campagnes du Pacifique s'est ouverte le 1er septembre 1951 dans la ville de San Francisco et s'est conclue par la signature du Traité de San Francisco ou Traité de paix avec le Japon le 8 septembre 1951. Le Japon reconnaît l’indépendance de la Corée et Formose et s'engage à offrir des compensations aux pays et aux victimes de son expansionnisme militaire. Quarante-huit pays alliés de la Seconde Guerre mondiale signèrent ce document, mais d'importants pays ne se présentèrent pas à la conférence ou refusèrent de signer comme la Chine populaire, l'Union soviétique, et l'Inde.


• FAO : Food and Agriculture Organization (organisation pour l’alimentation et l’agriculture), est une organisation spécialisée du système des Nations unies, créée en 1945 à Québec. Son siège est à Rome depuis 1951. La FAO regroupe 190 membres (189 États plus l’Union européenne). Son objectif suprême affiché est « Aider à construire un monde libéré de la faim », sa devise, inscrite sur son logotype, est « Fiat panis » (expression latine signifiant « qu'il y ait du pain (pour tous) »).


• UNICEF : United Nations International Children’s Emergency Fund (Fond des nations unis pour l’enfance) (N-Y) est une agence de l'Organisation des Nations unies (ONU) consacrée à l'amélioration et à la promotion de la condition des enfants. Elle a activement participé à la rédaction, la conception et la promotion de la convention universelle des droits de l'enfant, adoptée suite au sommet de New York en 1989.


• RDC : République démocratique du Congo, appelé plus simplement Congo, est le troisième plus vaste pays d'Afrique derrière le Soudan et l'Algérie et le plus peuplé d'Afrique centrale. De 1908 à 1960, cette ancienne colonie était appelée Congo belge jusqu'en 1966, date du renommage de la capitale en Kinshasa. Avec la zaïrianisation, le pays s'est appelé Zaïre de 1971 à 1997. Ces frontières ont été reconnues à l'issue de la conférence de Berlin, en 1885. Le 1er août 1885, Léopold II de Belgique accepta la souveraineté sur l'État indépendant du Congo. Les atrocités inhérentes au système d'exploitation acharnée du caoutchouc rouge furent telles qu'elles indignèrent la communauté internationale de l'époque et obligèrent le roi des Belges à renoncer à son régime personnel au Congo. En 1908, l'État belge reprit l'exploitation de la colonie.


Partie préparée par Clément :


• OECE : L'Organisation Européenne de Coopération Economique (OECE) a été instituée le 16 avril 1948. Elle est issue du Plan Marshall et de la Conférence des Seize (Conférence de coopération économique européenne) qui a œuvré pour l'établissement d'une organisation permanente chargée d'assurer la mise en oeuvre d'un programme de relèvement commun et, en particulier, de superviser la répartition de l'aide. Le siège de l'Organisation a été fixé à Paris.


• RDA : République démocratique d’Allemagne, également appelée Allemagne de l'Est, est un ancien État européen socialiste qui a existé durant la seconde moitié du XXe siècle. La RDA a, en effet, été créée le 7 octobre 1949 par les communistes allemands inféodés à l’URSS à partir de territoires que l'Armée rouge occupait en Allemagne.


• Isolationnisme : Politique visant à s’abstenir de tout engagement diplomatique ou économique vis-à-vis d’autres nations.


Partie préparée par Charlotte L :


• Arafat : Plusieurs significations sur wikipedia, donc je cherche tjs mais si vous trouvez n'hésitez pas à changer.


• MONUC : Mission de l'Organisation des Nations Unies en République démocratique du Congo, (devenu MONUSCO depuis le 1er juillet 2010. C'est une mission (de l'ONU) de maintien de la paix en RDC créé en 1999.)


• OCDE : Organisation de Coopération et de Développement Economique. (C'est une organisation internationale d'études économiques dont les pays membres (en général les plus développés) ont le même système de gouvernement démocratique et la même économie de marché.)


• OLP : Organisation de Libération de la Palestine. (Créé en 1964, se présente comme un mouvement de résistance armée représentant les palestiniens. L'Israel l'a considérée comme une organisation terroriste jusqu'aux accords d'Oslo ou dès lors, il la considère comme un interlocuteur diplomatique. L'OLP est désormais reconnue comme le partenaire palestinien des négociations pour régler le conflit israélo-palestinien.)

• ONU : Organisation des nations unies. (but : paix internationale)


• OTAN : Organisation du Traité de l'Atlantique-Nord. (L'Alliance a été créée pour assurer la sécurité de l'Occident suite à la Seconde Guerre mondiale, en prévention d'éventuelles tentatives allemandes d'Impérialisme et en luttant contre les ambitions de conquête de l'Union Soviétiqueappuyée par ses satellites)


Partie préparée par Emilie :


• Programme de la Guerre des étoiles : C'est un terme ayant initialement désigné le programme américain de défense antimissiles nommé officiellement « Initiative de défense stratégique » (IDS) qui a été lancé en 1983 par le président américain Ronald Reagan. Il s'agit d'un projet de réseau de satellites dont le rôle serait la détection et la destruction de missiles balistiques lancés contre les États-Unis.


• Conférence de l'Atlantique : La Conférence de l'Atlantique permit la négociation de la Charte de l'Atlantique, par le premier ministre britannique Churchill et le président américain Roosevelt, à bord de navires de guerre ancrés au Canada. La Charte de l'Atlantique proposait une vision pour l'après-Seconde Guerre Mondiale, en dépit du fait que les États-Unis n'étaient pas encore entrés dans le conflit. Les participants espéraient être rejoints par l'Union soviétique, qui avait été envahie au mois de juin précédent, mais ce ne fut pas le cas.


• Bande de Gaza : C'est une bande de terre de 41 km de long sur la côte orientale de la mer Méditerranée. Elle tire son nom de sa principale ville, Gaza. Son territoire est entouré au nord, à l'est et au sud-est par l’État d'Israël, et au sud-ouest par l'Égypte. La bande de Gaza n'est juridiquement rattachée à aucun État, bien que l'Égypte et Israël l'aient anciennement occupée successivement. Le processus de paix concrétisé par les Accords d'Oslo signés en 1993 a placé la bande de Gaza sous l'administration intérimaire de l'Autorité palestinienne. À la suite du déclenchement de la seconde Intifada, le gouvernement israélien a procédé unilatéralement au retrait en 2005 de son armée sur le terrain et au déplacement forcé de la population juive qui s'était implantée dans la bande de Gaza.


• Mahmoud Abbas : Plus connu sous son nom de guerre d’Abou Mazen, il est le Président de l'Autorité palestinienne depuis janvier 2005 et le Secrétaire général de l’Organisation de libération de la Palestine. Il a également occupé le poste de Premier ministre de l'Autorité palestinienne sous la présidence de Yasser Arafat.

Partie préparée par Charlotte P

• Soekarno: Homme politique indonésien, il milite dès sa jeunesse pour le mouvement nationaliste contre les Hollandais. Il fonde en 1927 le parti national indonésien. Plusieurs fois emprisonné et exilé, il est libéré au moment de l'invasion japonaise de 1942. Les Japonais l'installent comme président du Conseil. En 1945, il reste au pouvoir et proclame l'indépendance de l'Indonésie. Il en est le premier président à partir de 1949. Il met en place un régime autoritaire dont il devient le président à vie à partir de 1963. Il est cependant forcé de se retirer de la vie politique en 1967 à la suite d'un coup d'état militaire.


• Gamal Abd el-Nasser: Héros de la guerre de 1948 contre Israël, le colonel Gamal Abd el-Nasser renverse en 1952 le roi Farouk 1er et proclame la République. En 1956, il demande aux Américains de l'aider à financer un barrage sur le Nil. Mais Washington, qui le suspecte de sympathies pro-soviétiques, refuse son concours. Du coup, Nasser décide de se procurer l'argent en nationalisant le canal de Suez. Il perd la guerre des Six Jours1 contre Israël (1967) ; il mène une politique de rapprochement avec l’URSS, et tente de renforcer les liens entre les Etats arabes. Jusqu’à sa mort et malgré une série d’échecs retentissants, le «raïs» (président) va incarner de la sorte la renaissance du nationalisme arabe.


• Perestroïka: Politique de restructuration économique lancée en URSS en 1985 OU Fut le nom donné aux réformes économiques et sociales de Mikhaïl Gorbatchev menées d'avril 1985 à décembre 1991 en Union soviétique.


• Glasnost: La glasnost (en russe, traditionnellement traduit par transparence) est une politique de liberté d'expression et de la publication d'informations, introduite par Mikhaïl Gorbatchev en URSS en 1985. Le but de Gorbatchev avec la glasnost fut en partie de mettre la pression sur les conservateurs du parti qui étaient opposés à sa politique de restructuration économique (la perestroïka). Cependant, la perestroïka va accentuer la crise économique et va précipiter l'URSS et sa population dans des conditions de vie très difficiles, ce qui va provoquer une montée des contestations.


• Gorbatchev: Homme d'État soviétique ( 1931 - ). Membre du parti communiste depuis 1952, il devient un membre national du parti à partir de 1970. A partir de 1982, il devient le numéro deux du pays avec l'arrivée d'Andropov au pouvoir. En 1988, il accède à la tête de l'URSS. Il tente de mettre en place un programme de réformes économiques basé sur la "perestroïka" (restructuration) et sur la "glasnost" (transparence). Sa politique tranche singulièrement avec celle de ces prédécesseurs. Mais les conséquences ont tendances à le dépasser et il ne peut rien faire pour redresser une économie chancelante. En 1987, il signe avec Ronald Reagan, président des Etats-Unis, un accord sur l'élimination des missiles de moyenne portée en Europe. En 1989, la chute du mur de Berlin symbolise sa politique d'ouverture vis-à-vis des pays du Pacte de Varsovie.En décembre 1991, il est contraint à démissionner au profit de Boris Eltsine. Il poursuit son action interne et internationale.


• Conférence de Yalta (4-11 février 1945): Conférence qui réunit à Livadia (Yalta) Roosevelt, Churchill et Staline en vue de régler les problèmes posés par la défaite proche des Allemands. Signés en février 1945 par les Américains, les Britanniques et les Soviétiques, les accords de Yalta prévoient notamment, devant la défaite certaine de l'Allemagne, le partage de celle-ci en quatre zones d'occupation, ainsi que l'entrée en guerre de l'Union soviétique contre le Japon. Cette dernière clause est rendue inutile par les bombardements d'Hiroshima et de Nagasaki ; mais la décision permet aux Soviétiques de redevenir maîtres de la Chine du Nord et de la Corée du Nord, occupées jusque-là par le Japon. En outre, les trois pays vainqueurs décident la création d'une organisation internationale, qui sera l'O.N.U., et permettent l'amputation de la Pologne au bénéfice de l'U.R.S.S; perte de territoire compensée aux dépens de l'Allemagne. La Corée est partagée en deux zones d'influence, américaine et soviétique.


• Nikita Khrouchtev: Homme d'état soviétique ( 1894 - 1971 ). A partir de 1934, il devient membre du Parti Communiste Soviétique. Il s'impose rapidement comme un successeur éventuel de Staline et s'emploie à éliminer les autres prétendants. Finalement à la mort de Staline en 1953, il est le seul sur les rangs pour lui succéder.

 A la tête de l'URSS, il met en place une politique de réformes économiques, en développant notamment les industries de consommation. Il dénonce publiquement le culte de la personnalité et les crimes commis par Staline. Sur le plan extérieur, il prône le dialogue et le respect de la coexistence pacifique. Cependant l'intervention de l'Armée Rouge en Hongrie ( 1956 ), la construction du mur de Berlin ( 1961 ), la rupture avec la Chine ( 1961 ) ou Cuba ( 1963 ) donnent à cette politique un aspect confus. Il en est de même avec la politique intérieure, les résultats se font attendre.
Le bilan médiocre de sa politique lui coûte le pouvoir, il est démis de ces fonctions en 1964.


Merci de compléter cet article pour en améliorer son contenu si possible et pas juste profiter de cette synthèse et nous pouvons remercier Charlotte Léger qui est a l'initiative de cet article.

Merci d'avance pour vos contributions.