« Disque dur » : différence entre les versions
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Version du 11 mai 2010 à 10:35
Disques durs
Description et fonctionnement
HDD
Hard Disk Drive
Support magnétique de stockage de données numériques
-Samsung
-Hitachi
-Seagate
-Westen digital
indépendant d’un appareil en particulier( caméscope, lecture numérique) Pour les mêmes critères le HDD est l’inverse du SSD mais n’est pas abandonner pour la cause, il est encore présent à l’heure actuelle.
SSD
Solid State Drive
Unité électrique de stockage de données constituée de mémoire flash
-Samsung
-Hitachi
-Seagate
-Westen digital
Pressenti pour remplacer le disque dur :
pas d’usage mécanique
Plateau tournant Bras de lecture mobile
meilleure résistance au choc
silence car absence de pièces mécaniques faible consommation d’électricité prix élevé nombre de cycles d’écritures limité ce qui pose problème avec les fichiers journal SOLUTION : Couplé avec un disque dur magnétique par les fichiers qui demande beaucoup d’écriture.
Historique
Le premier disque dur fut créé en 1956 par IBM [1]. A cette époque, le disque dur pesait plus d’une tonne en plus n’avait pratiquement pas de capacité de stockage (seulement 5 Mo). En 1962, une grande innovation fait son apparition sur le marché, on diminue la distance tête plateau elle passe de 20,32 µm à 6,35µm. Cela entraîne un accroissement de la densité spécifique (nombre de bits par pouce carré) et donc une augmentation de la capacité cela passe de 5Mo à 28 MO. En 1973, IBM lance encore un nouveau disque dur qui est désormais hermétiquement fermé. De plus, sa taille diminue toujours tandis que la capacité ne cesse d’augmenter on passe de 28 Mo à 60 Mo. Ce disque dur est à la base de nos disques dur actuelle. Aujourd’hui, la taille d’un disque dur est de 3,5 pouces (+/-9cm) alors que le tout premier faisait 24 pouces (+/-61cm). Leur capacité ne cesse d’augmenter, aujourd’hui, les disques durs varient entre 40 G0 (sachant que 1Go = 1024 Mo) et 1 To (1048576 Mo=1024 Go = 1 To) c'est-à-dire presque 9000 fois plus que le tout premier disque dur. En 55 ans, les choses ont énormément changées. On est passé de l’énorme disque dur qui pesait plus d’une tonne, qui contenait très peu de place et qui valait des millions d’euros à un disque dur pratiquement invisible mais avec une capacité énorme et tout cela pour quelques dizaines d’euros.
Evolution futures
Vu à l’allure où avance la technologie à l’heure actuelle, on ne sait pas trop a quoi s’attendre dans 10 ans … Le disque dur existera-t-il encore ou sera-t-il remplacé par une nouvelle invention ? Nous n’en avons pas la réponse…
Le disque SSD
Le Solid State Drive (SSD), littéralement lecteur solide, est une unité électronique de stockage de données constituée de mémoire flash. Le terme anglais « solid state » désigne un appareil ou composant électronique à semi-conducteurs, donc sans pièces mobiles. Depuis 2008, ce lecteur est pressenti pour remplacer le disque dur qui consiste quant à lui en un bras de lecture balayant un ou plusieurs plateaux rotatifs tournant à la vitesse de plusieurs milliers de tours par minute. Il existe des SSD basés sur de la DRAM au lieu de la mémoire flash, cependant la persistance des données à l’arrêt ne peut être assurée qu’avec des batteries et pour une durée limitée.
Le disque SATA
Le Serial ATA a de multiples avantages par rapport à son prédécesseur, les trois principaux sont sa vitesse, la gestion des câbles et le branchement à chaud. L'ancienne norme ATA est communément désignée sous le nom « Parallel ATA » afin que les deux ne soient pas confondues. Les premiers modèles de Serial ATA, apparus en 2003 permettent un débit théorique de 150 Mio par seconde, mais ont été conçus pour aller bien plus vite. Le Serial ATA II double sa vitesse à 300 Mio/s puis les 600 Mio/s sont prévus pour 2009. Cependant à 150 Mio/s ce n'est que 17 Mio/s de plus que le plus rapide des Parallel ATA : l'ATA/133. Les bus parallèles ont maintenant des difficultés pour augmenter leurs vitesses à cause d'un problème de synchronisation des lignes de données. Le Serial ATA utilise le nouveau LVDS pour la signalisation. L'augmentation du débit de l'interface est sans grand intérêt lorsqu'un seul disque est utilisé, puisque ceux-ci ne permettent pas (en 2007) un débit supérieur à 100 Mio/s, d'autant plus que, contrairement au P-ATA où tous les disques branchés sur un seul câble doivent partager la bande passante, en SATA chaque disque dispose du maximum autorisé par sa norme et celle du contrôleur. La norme SATA II permet l'utilisation de multiplicateurs de ports, qui permettent d'utiliser plusieurs disques à partir d'un seul connecteur du contrôleur.
Le disque PATA
Dans un disque dur, on trouve des plateaux rigides en rotation. Chaque plateau est constitué d'un disque réalisé généralement en aluminium, qui a les avantages d'être léger, facilement usinable et non magnétique. Des technologies plus récentes utilisent le verre ou la céramique, qui permettent des états de surface encore meilleurs que ceux de l'aluminium. Les faces de ces plateaux sont recouvertes d'une couche magnétique, sur laquelle sont stockées les données. Ces données sont écrites en code binaire sur le disque grâce à une tête de lecture/écriture, petite antenne très proche du matériau magnétique. Suivant le flux électrique qui traverse cette tête, elle modifie le champ magnétique local pour écrire soit un 1, soit un 0, à la surface du disque. Pour lire, c'est le même principe qui est utilisé, mais dans l'autre sens: le champ magnétique local engendre un flux électrique au sein de la tête qui dépend de la valeur précédemment écrite, on peut ainsi lire un 1 ou un 0. Un disque dur typique contient un axe central autour duquel les plateaux tournent à une vitesse de rotation constante. Les têtes de lecture/écriture sont reliées à une même armature qui se déplace à la surface des plateaux, avec une tête par plateau. L'armature déplace les têtes radicalement à travers les plateaux pendant qu'ils tournent, permettant ainsi d'accéder à la totalité de leur surface.
L'électronique associée contrôle le mouvement de l'armature ainsi que la rotation des plateaux, et réalise les lectures et les écritures suivant les requêtes émises par le contrôleur du disque. Les firmwares des disques durs récents sont capables d'organiser les requêtes de manière à minimiser le temps d'accès aux données, et donc à maximiser les performances du disque.
Le disque SCSI
SCSI, Small Computer System Interface en anglais, est un standard définissant un bus informatique permettant de relier un ordinateur à des périphériques ou bien même à un autre ordinateur. Le standard décrit les spécifications mécaniques, électriques et fonctionnelles du bus